Qu’adviendrait-il de l’humanité, si elle était frappée par un virus mortel incurable échappé d’un laboratoire, qui se propage par simple contact ?
Créez une population, et lâchez-y un virus, qui s’y propagera.
La première ligne permet d’ajuster la couleur et la transparence du fond. Elle est sans incidence sur le fonctionnement du logiciel.
La largeur et la hauteur permettent de définir la population. Chaque personne est négative, c’est à dire non infectée par le virus.
Toute modification d’un de ces paramètres ré-initialise la simulation.
Chaque personne est représentée par un cercle, dont le rayon détermine sa capacité à entrer en contact avec les autres.
Plus le rayon est important, plus facilement les personnes entreront en contact entre elles.
La mobilité est la distance dont les personnes se déplacent, dans une direction aléatoire.
Le virus se propagera plus rapidement dans une population mobile que dans une population statique.
Le confinement a précisément pour but de réduire la mobilité de la population.
Chaque personne mémorise la trace de son passage. Cette glissière permet d’en révéler les dernières positions.
Dans le monde réel, le temps se mesure en heures, minutes et secondes. Dans le Simulateur Pandémique, il se mesure en périodes.
Une période est une étape, durant laquelle les personnes peuvent se déplacer. Cette glissière permet d’accélérer ou de ralentir l’écoulement du temps.
Ces options peuvent être activées par des cases à cocher ou des glissières. Elles ne modifient pas le comportement du logiciel, mais seulement son affichage.
Chaque personne se déplace dans une direction aléatoire. Les personnes ne cherchent ni à se rencontrer, ni à s’éviter.
Cette option permet de révéler la direction dans laquelle elles se déplacent.
Dans la vie réelle, chaque personne est identifiée par son prénom et son nom. Ici, le numéro permet de les identifier.
La santé est une variable entre 0 et 100. Une personne parfaitement saine a une santé de 100.
Le virus diminue la santé de la personne infectée. Lorsque la santé tombe à zéro, la personne est morte.
Lorsqu’une personne est morte, elle ne peut plus, ni se déplacer, ni en infecter d’autres.
Chaque personne négative est créée avec une santé aléatoire entre 25 et 100.
La santé est matérialisée par un cercle d’autant plus complet qu’elle est proche de 100
Cette option permet de révéler la charge virale des personnes infectées, sous forme d’un nombre en-dessous de leur cercle ou numéro.
Ces glissières permettent d’atténuer les personnes saines ou mortes, pour mieux suivre la propagation du virus, en ne montrant que les personnes infectées.
Le cadre inférieur, dans la marge gauche, permet de créer et de lâcher le patient zéro, initiateur de la pandémie.
Cette action ne peut être accomplie qu’une seule fois. Une fois le patient lâché, le cadre, et donc la fonction, disparaît.
Les deux premières glissières permettent de régler, respectivement, la santé [25..100] du patient zéro, et sa charge virale.
Les deux glissières suivantes permettent de le positionner, horizontalement et verticalement, dans la population, avant de l’y lâcher.
La case à cocher Fuir permet d’instaurer une zone de terreur autour du patient zéro.
Dans ce cas, et contrairement à ce qui a été dit, préalablement, sur les azimuts aléatoires,
les personnes prendront une direction opposée au patient zéro, qu’elles fuiront, si vous avez lancé l’animation avant de lâcher le patient zéro.
Ce bouton permet de lâcher le patient zéro dans la population, à l’endroit désigné.
Une fois lâché, le patient zéro devient une personne ordinaire, soumise aux mêmes règles du déplacement aléatoire.
Le virus se propage lors des contacts entre personnes.
Deux personnes sont en contact, lorsque la distance entre leurs centres est inférieure à la somme de leurs rayons. (leurs cercles se touchent)
Rappelons que, pour voir les personnes comme des cercles, il ne faut pas cocher la case Numéro, qui en affiche l’identifiant.
Le rayon est, donc, un facteur déterminant dans les contacts, et la propagation du virus.
Un contact est matérialisé par une ellipse, dont le petit diamètre est proportionnel à la distance, et donc à l’intensité du contact.
Plus les centres des deux personnes en contact sont proches, plus l’ellipse de contact sera proche du cercle.
Les contacts infectieux, c’est à dire dont une des deux personnes est infectée, sont colorés en rouge.
Ce qui ne signifie pas, pour autant, une nouvelle infection, si les deux partenaires étaient déjà infectés.
Chaque personne en contact transmet une portion de sa charge virale à l’autre. Lorsque les deux personnes sont négatives, le contact est sans conséquence.
Si une des deux personnes, (ou les deux) est (sont) positive(s), la propagation virale est d’autant plus élevée que
Chez une personne nouvellement infectée, le virus prolifèrera dans son organisme. Ce qui explique l’augmentation spontanée de sa charge virale.
Comme dans la réalité. Une personne nouvellement infectée ne reçoit que quelques exemplaires du virus, microscopique, et incapable d’affecter son organisme.
Le danger du virus vient de ce qu’il se reproduit dans l’organisme atteint. La charge virale augmentant spontanément.
Chaque période multiplie la charge virale par 1,005
Ce paramètre est provisoire. D’autre part, la santé de la personne devrait lui permettre de le combattre, et donc, de diminuer sa charge virale,
ce qui n’est pas encore programmé, dans cette version provisoire, dont les personnes infectées ne guérissent ni ne meurent.
Les personnes en contact ne disposent d’aucun moyen de prévention, pour lutter contre la propagation du virus.
Tels que le préservatif, contre le HIV, ou le masque bucco-nasal, contre le covid19. Lors d’un contact, la contagion est, par conséquent, inévitable.