Profil personnel

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⛹ Team player Le développement logiciel est un travail d’équipe.
🌋 Débrouillard et autonome Ce n’est pas antinomique avec team player, mais complémentaire.
🗣 Trilingue Français, néérlandais, anglais.
🚗 Permis de conduire B depuis 1998 Excellent conducteur, malus zéro en 2015, 2014, 2012
Malus initial : 14 d’office, lors de l’obtention du permis.
Perte régulière d’un point par an.
👮 Casier judiciaire vierge,
requis pour enseigner à la HELHa
Casier judiciaire vierge 2018
⏳ Patient On développe les logiciels dans le calme. Les bugs dans la précipitation.
🦠 Vacciné covid-19 😷 😱 💉 Vaccin Pfizer 🩹 😰
🚭 Non fumeur Il a nous fallu 50 ans pour découvrir la vraie valeur du tabac : aucune.
Je suis heureux de n’y avoir jamais touché ☺
🍻 Non buveur L’alcool, c’est de la c🥳nnerie en bou🍾eille.
Pas vraiment ce qu’on attend d’un analyste-programmeur.

L’informatique me passionne 🧠

Le développement logiciel ne fait appel qu’à l’intelligence.

🦽 Les frameworks…

Quand on ne sait pas écrire ses programmes, on assemble ceux des autres

C’est une question qu’on me pose souvent :
Connaissez-vous ReactJS, AngularJS, JQuery, Drupal, Zend, Bootstrap, Farbtastic, … ?

Depuis que j’ai commencé à programmer, en 1982, j’ai toujours rédigé mes logiciels instruction par instruction.
Maîtrisant ainsi parfaitement leur comportement. Cette démarche intellectuelle m’évite bien des surprises à l’exécution.

Néanmoins, je constate que le monde de l’entreprise ne partage pas mon point de vue, et préfère assembler vite fait des frameworks pré-fabriqués.
Comme on bâtit la 🏠 des trois petits 🐖 🐖 🐷, en une semaine, en agrafant des pans de murs livrés par camion, sur lesquels une grue pose un toit avec des tuiles et des tabatières.
Quand on paye ses programmeurs à l’heure, on préfère le vite fait au bien fait, sans trop se demander comment le framework invoqué fait son boulot là-derrière.

Ensuite, quand la technologie évolue 🌬, et que le framework ne suit pas, c’est la cata 🌪, comme dans l’image de droite.
Agrandissez-la en y posant la souris.

…sont nuisibles

Ils alourdissent inutilement les pages web, ralentissent leur chargement, consomment de la bande passante et chargent le processeur.
Du tape-à-l’œil sans réelle plus-value. Quand on ne sait pas programmer au fond 🧠, on soigne la forme 💅.

Douglas Crockford, le créateur de JSON, dénonce aussi l’utilisation abusive de frameworks.
Comme moi, le gouvernement anglais a éradiqué JQuery de ses sites web, pour rompre toute dépendance.

Voilà ce qui arrive
quand on incorpore des librairies.

Les plateformes évoluent,
pas les librairies.

Chaque librairie est une menace.

Pour un site web perso privé, ça peut encore passer…
Avec une application en production, et plusieurs centaines de clients dessus, c’est la panique, avant de déposer le bilan en catastrophe ☠
Bonne chance pour vous relever après. Je ne suis donc pas convaincu de l’économie.
En effet, un framework qui fait encore ses accès BD mysql_* sous PHP 7, plutôt que d’utiliser PDO (Php Data Object), est une 💣 à retardement, dont le développeur ignorait l’existence.

En JavaScript, pareil.
A quoi bon JQuery, lorsqu’on sait capturer ses éléments HTML par un document.querySelector(), et leur associer des événements par un element.addEventListener(); ?
Je n’ai jamais voulu de JQuery dans mes applications.
Pas plus que je n’utilise le trans-compilateur TypeScript pour produire un JavaScript miraculeux, auquel je ne comprendrais rien. Je veux maîtriser.
Je ne veux aucune zone d’ombre dans mon code source.

Je préfère m’investir dans l’étude des langages finaux, ceux que la machine exécute. C’est apparemment plus lent🐢, mais plus sûr.
Quand on inclut le temps de déboguage, lors du changement de version de plate-forme, on a au final gagné du temps.

Mais non, on ne prendra pas tant de temps à déboguer.
Puisque je ne te donne 🤜que deux jours🤛 pour déboguer ces 20.000 lignes de code,
qui doivent être prêtes à mettre en production lundi
 🐲.

Lors d’un upgrade, comme le passage à PHP 7, je ne voudrais pas être à la place du pr🤯grammeur à frameworks,
qui va se prendre une engu🦖ade de f💥rce 7 sur l’échelle de Richter.

S’il vous faut un développeur rapide à frameworks, ne perdez pas votre temps sur mon site. Merci de ne pas m’engager pour ce genre de boulot.
Par contre, si vous voulez bâtir une application robuste et stable,

🌟 comme celle-ci 🌄

alors, recontactez-moi.

Allez d’abord voir, dans son code source, si j’ai eu besoin de JQuery, ReactJS ou AngularJS.

Vous pouvez surfer tant que vous voulez. Si vous trouvez une application web astronomique plus complète, je rembourse deux fois la différence 👼
Mais ne me demandez pas si j’ai besoin d’un framework pour programmer.
Demandez plutôt à un marathonien s’il sait aussi se déplacer en 🦽, "parce qu’ici, toute l’équipe en a besoin. Sans ça, je ne peux pas vous y intégrer".

Je programme du solide 🧱, pas du rapide ⛐.

Un exemple concret: TypeScript

TypeScript n’est pas un langage opérationnel: il doit être trans-compilé en JavaScript pour le devenir.
Son rôle essentiel est de typer les variables, à moins d’utiliser le type any comme sortie de secours.

Pour ma part, je découpe mes logiciels en micro-fonctions, aussi finement que possible.
Elles fonctionnent en trois temps:

  1. Réception des paramètres
  2. Calcul des constantes
  3. Elles font leur boulot

Par conséquent, les variables calculées sur base des paramètres, gardent une valeur constante pendant toute la fonction.
Je les déclare donc avec Const

Il s’agit de micro-constantes, de durée de vie très éphémère, limitées à la fonction qui les déclare.
Déclarées aussi bas que possible, dans la hiérarchie des fonctions imbriquées.

Par conséquent, j’utilise très peu de variables, et n’ai donc pas besoin de TypeScript, dont je n’ai que des connaissances théoriques.
Voici quelques exemples concrets, dans le panorama, ou les saisons.

🍺 🎓 Concernant l’alcool à l’université

Je fustige l’ensemble des universités qui tolèrent, sur leur campus, des pratiques encourageant la consommation d’alcool, surtout chez les nouveaux étudiants.
Baptêmes, bleusailles, bitures et autres beuveries d’un soi-disant folklore universitaire. Alors que l’alcool endommage irréversiblement le cerveau, par privation d’oxygène.
Ces pratiques n’existent pas dans les écoles professionnelles ou supérieures.

L’université, qui se veut être le temple du savoir, est, à ce point de vue-là, stupide d’accepter, en son propre campus, un tel sabotage de son activité, dès l’accueil des premières candis.
Des bleus naïfs, qui coient accroître leurs chances de réussite en buvant de l’alcool, pour se faire des amis parmi les 2° candis, à peine plus expérimentés. Confondant amitié et prosélytisme.
Comme si la réussite pouvait se passer comme un ballon.

L’alcool n’a jamais été un facteur d’intégration sociale, mais plutôt d’exclusion et d’échec.

J’ai, moi-même, été abordé par des faux amis qui m’ont incité à boire. Avec lesquels j’ai immédiatement rompu, peu impressionné par leur leaderschip.
Car celui qui vous encourage à boire n’en assume jamais les conséquences, toujours négatives, et souvent pénibles.

A mon tour, j’encourage le recteur à organiser une commission d’enquête, pour identifier les 🦹 manipulateurs qui sabotent l’université, pourquoi, et comment les éradiquer.
Car, comme pour la conduite automobile: boire ou étudier, il faut choisir.